Moneo Applicam se diversifie dans le secteur de la santé
Le domaine de la monétique ne s’exprime pas seulement dans la banque et la finance, mais elle connait depuis une vingtaine d’années, plusieurs relais de croissance dans différents secteurs d’activités. Parmi ceux-ci, le secteur de la santé connait un nouveau regain d’intérêts. Après l’émission de la carte « Sésame-Vitale » , le « Chèque-Santé » ambitionne de dynamiser ce secteur par un abondement de l’entreprise pour des soins non remboursés aux salariés. Un nouveau marché prometteur, car il touche l’ensemble des actifs de la population française. C’est dire le potentiel de ce marché naissant.
Par principe, toute conquête d’un nouveau marché fait prendre un risque non négligeable au premier entrant. Mais, l’avantage est que ce dernier dispose d’un avantage concurrentiel indéniable. En l’occurrence, le « marché de la santé » est tout aussi conséquent que celui du « titre-restaurant » en France. Aussi, sur un marché de masse prometteur, la meilleure place est bien celle de la pole position, afin de bénéficier le premier des retours sur investissements.
Afin de mieux connaitre ce marché naissant qui s’adresse au marché des professionnels comme à celui des particuliers, nous avons interviewé en exclusivité, Monsieur « Serge RAGOZIN » , Directeur Général charismatique et visionnaire, afin de décrypter la stratégie de son entreprise « Moneo-Applicam » et, dont le cœur de métier est le traitement des opérations par cartes prépayées. En effet, depuis quelques jours, la société « Moneo-Applicam » a signé un partenariat technique avec la société « Care-Labs » distributeur du « Chèque-Santé » .
Source : Moneo-Applicam – Juillet 2015
Monsieur « Serge RAGOZIN » , bonjour et, merci d’accorder cette interview exclusive aux lecteurs de Monéticien, à la suite de l’annonce récente, d’un partenariat stratégique entre la société « Moneo-Applicam » et la société « Care-Labs » .
Monéticien : Pour mémoire, vous dirigez aujourd’hui la société « Moneo-Applicam » mais également six autres entreprises, dont la « SFPMEI » et « Moneo-Payment-Solutions » . Pouvez-vous revenir sur les synergies existantes entre ces différentes entreprises, ainsi que sur leurs relations capitalistiques ? En effet, toutes les trois évoluent dans le secteur de la monétique.
Serge Ragozin : Vous avez raison, ce sont bien trois entités juridiques différentes positionnées dans l’écosystème de la monétique. Toutes trois sont dirigées, pour la partie « technico-fonctionnelle » , par un seul homme dont le champ des responsabilités couvre l’ensemble des questions se rapportant à nos plateformes de paiement. Vous venez de terminer la partie en lecture libre de l’article. Pour adhérer à Monéticien, rendez-vous en bas de page.
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