Une SmartCard aux connexions neuronales déployée dès 2017

Le mois d’avril débute fort avec une nouvelle exclusivité dès le premier jour. « Une SmartCard aux connexions neuronales déployée dès 2017 » brise le tabou d’un paiement assujetti à un terminal et à un mode de validation. En effet, la communauté scientifique apporte une contribution majeure à l’écosystème de la monétique, pour une application commerciale prochaine, d’un paiement universel qui s’affranchit de tout support.

Cette innovation majeure n’est pas le fruit d’une entreprise, mais le résultat de trois années de recherches scientifiques reposant sur les interconnexions du cerveau humain. Une exploration maintes fois tentée en vain par des industriels européens et américains en collaboration avec des laboratoires privés. L’idée majeure de ce brevet, déposé par Hubertus Olybri, Docteur en nanotechnologies de la faculté Saint-Contretemps à Ante (province de Targonis) repose sur le zéro support pour identifier et réaliser un paiement de proximité ou à distance. Une approche longtemps crainte par les industriels de la monétique sur le point de se réaliser. Exit donc, les supports venant au secours d’un paiement et de sa validation par des terminaux suréquipés. Dorénavant, un acte d’achat pourra être réalisé à partir des seules connexions neuronales émises par un consommateur.

Pour adhérer à l’association MONETICIEN et permettre à vos salariés de bénéficier d’une information objective, indépendante et pédagogique réalisée par des experts, merci de nous laisser vos coordonnées professionnelles (cf. formulaire en bas de page) et nous vous contacterons rapidement. Nous avons pu interviewer un éminent chercheur qui nous a accordé un entretien exclusif afin de partager cette innovation majeure.

Docteur Hubertus Olybri, vous avez accepté d’accorder aux lecteurs de Moneticien, une interview intitulée « une SmartCard aux connexions neuronales et déployée dès 2017 » qui a été réalisée dans vos locaux à Saint-Contretemps, ce dont nous vous remercions.

Monéticien : Comment vous est venu l’idée d’explorer les synapses du cerveau humain, comme vecteur d’un paiement de proximité ou à distance ?

Hubertus Olybri : Vous savez, l’inconvénient majeur aujourd’hui est de devoir posséder sur soi, un moyen de paiement afin de régler un achat. Certes, la biométrie apporte un confort d’utilisation, mais les consommateurs restent réticents à cette idée, car elle touche à une part intrusive [Moneticien.com – tous droits réservés] de leur vie privée. Si on ajoute, le risque d’usurpation de données personnelles non interchangeables, la biométrie n’a que peu d’avenir sur le marché des particuliers. Avec mon équipe, nous avons cherché à éradiquer toute réticence du consommateur, en travaillant spécifiquement sur la région du cerveau qui stimule en permanence son obéissance. Car la question de fond se trouve précisément là. « Un consommateur qui conserve une latitude d’autonomie et de prise de décisions est contreproductif à l’essor du commerce » , ajoute le docteur Olybri. Vous comprenez que cette question centrale devait-être explorée avant-tout. J’ai donc commencé mes travaux de recherches, voici trois ans, en me focalisant sur ce sujet prioritairement. La connaissance des circuits neuronaux est maitrisée aujourd’hui. Seule, la zone de l’obéissance d’un individu [Moneticien.com – tous droits réservés] restait à découvrir. A ce titre, j’ai orienté mes recherches sur les animaux domestiqués par l’homme. Le chien et le cheval en sont de très bons exemples. Rappelez-vous, Yvan Petrovitch Pavlov avait mis en relief le réflexe conditionnel chez le chien. J’ai donc procédé à un scanner sans-fil du cerveau d’un chien, lors de mes séances de dressage (assis, couché, debout, demi-tour, donne la patte, etc.). Un formidable Chihuahua qui répond au doux nom de Vienla, à exhaussé mes souhaits. Il s’agit d’un mâle de trois ans qui m’a été prêté par le dirigeant d’un cirque ambulant.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Monéticien : Votre dépôt de brevet mentionne une zone de contrôle pour le paiement. Comment avez-vous réussi cette performance incroyable ?

Hubertus Olybri : Une fois réglée la question de la zone d’obéissance grâce à une hormone naturelle secrétée par l’homme, j’ai travaillé sur la zone d’impulsion qui déclenche le désir d’achat. Là encore mes recherches ont été rendues possible par le meilleur ami de l’homme, le chien. En effet, je me suis promené avec Vienla dans les rues, en observant son comportement devant les magasins du centre-ville. Après plusieurs arrêts de sa part face à une boucherie, j’ai pu localiser avec mon scanner portatif sans-fil, la zone précise de son cerveau [Moneticien.com – tous droits réservés] qui est stimulée par le désir de manger. Ce travail a été assez rapide, je l’avoue et, après seulement trois mois de tests répétés. Il ne me restait plus qu’à trouver le moyen de dématérialiser la fonction de paiement. Si vous prenez la carte bancaire équipée d’une puce, les différentes commandes qui amènent à la validation d’un paiement, passent par une série de phases qui s’apparentent à un réseau neuronal. La question en suspens étant de dématérialiser ces modules pour les assembler dans le cerveau. J’ai réussi ce tour de force en me servant de l’air comme conducteur. Ainsi, chaque module qui participe à un paiement a été dématérialisé en une nano-molécule biodégradable, puis répandue dans l’air ambiant du laboratoire. Le chien a pu respirer, une à une, les nano-molécules dispersées dans l’air, au bout d’une minute seulement. Une fois assemblées, les nano-cellules se sont localisées dans la zone du cerveau identifiée par le désir, grâce à un orientamètre, de ma conception. Ce travail de recherches au cœur de mon brevet, m’a demandé plus d’un an.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Source : NASA – One small step for man, one giant leap for mankind – 1969

Monéticien : Quelles sont les applications pratiques de votre invention ?

Hubertus Olybri : Modestement, je pourrais résumer mon invention par « un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour le commerce. » . Vous savez, ce qui m’a le plus étonné lors des premiers tests, c’est que Vienla achetait directement sa viande chez le boucher lors de nos promenades. Mais pas seulement. Car étant présent dans le laboratoire lors de la diffusion dans l’air des nano-molécules, mon cerveau a également été équipé de mon module de paiement. Ne souriez-pas, mais moi qui suis végétalien depuis plus de dix ans, j’achète de la viande aujourd’hui, deux fois par jour. Et ce n’est pas tout. Vienla est devenu [Moneticien.com – tous droits réservés] addict au télé-shopping, une émission diffusée en continue sur une chaine numérique de la TNT. Pour ma part, j’achète quand il dort, car il ne me laisse pas la possibilité de faire des achats lorsqu’il est éveillé. Je peux le dire maintenant que mon invention est protégée, c’est une totale réussite. Pensez donc, plus besoin d’enregistrer le consommateur. Mon module de paiement a été déployé facilement, au sein du personnel de l’université, grâce à la climatisation. Le chiffre d’affaires des commerçants alentour a été multiplié par 10, dès la première semaine. Une réussite qui plait à tout le monde, même aux établissements de crédit qui ont vu le nombre de demandes de crédit exploser.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Monéticien : Recherchez-vous des industriels afin de commercialiser votre invention ?       

Hubertus Olybri : Naturellement. il suffit de me contacter par téléphone au +7000 01 04 20 16 ou par courriel à hubertus.olybri@univ-saint-contretemps.com. Mais de grâce, ne mettez pas le mot paiement en objet, car Vienla pensera qu’il s’agit d’une offre commerciale et se jettera dessus le premier pour l’acheter. Le mieux est de faire référence à votre article sur Moneticien.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Monéticien : Une question que nous ne vous avons pas posé et à laquelle vous aimeriez répondre ?

Hubertus Olybri : Je vous avais indiqué que Vienla m’avait été prêté par un cirque, le temps de réaliser mes expériences. Sachez que je dois le garder maintenant. En effet, je l’avais rendu à son propriétaire, un dresseur qui l’utilisait lors de ses représentations. Il me l’a rapporté le [Moneticien.com – tous droits réservés] lendemain, car Vienla avait fait une tentative de rachat amical du cirque, en utilisant mon compte bancaire. Depuis, Vienla dispose de son propre compte en banque que j’alimente à partir de dons des passants lors de nos promenades. Grâce à sa participation, j’ai décidé de l’inclure au projet de commercialisation du brevet en lui cédant la moitié des droits d’exploitation. Grâce à cela, les dépenses récurrentes de Vienla seront absorbées par les revenus du brevet.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Docteur Hubertus Olybri, nous vous remercions chaleureusement pour cette interview et vous souhaitons un prompt succès à la commercialisation de votre invention. 

Interview réalisée le 1er avril 2016.

Très bonne semaine

La Rédaction

All Rights Reserved – Tous Droits Réservés

ENGLISH : This page is entirely protected by the « Digital Millennium Copyright Act » in accordance with the US Law. Moreover, articles 1, 2 and 3 from « The Computer Misuse Act » applies for connexions from United Kingdom. We daily monitor all trafic of our website and register all suspect activities in order to provide sufficient proofs to present original documents to an Official Court Justice of Law. Violators will be prosecuted. Read our « Legal Notice » for further details.

FRANCOPHILE : Cette page est protégée par la législation française des codes de la « Propriété intellectuelle » , de la « Confiance dans l’Économie Numérique » et du « Code Pénal«  . Tout contrevenant s’expose à des poursuites judiciaires. Nous enregistrons toute activité sur notre site. Pour plus d’informations, consultez notre page « Infos Légales« .

SPAIN : Nuestro sitio Web y todo su contenido electronico esta protejido por la « Ley espanola » (codigos penales : 189, 264, 278, 390 y siguientes en referencia). Puede consultar a esta pagina « Infos Legales » .

[contact_form]